Mardi 16 mars 2010 à 22:13



" Ca y'est c'est finis,

On va pas se dire Aurevoir comme sur le quaie d'une gare,

Je te dis juste Bonjour et fais gaff à l'amour !
"




Mercredi 24 février 2010 à 21:10

So, of course, you are supposed to come tonight.
You are supposed to come tonight.
We'll have gone to the cinema
and after to this restaurant, the one you like in your street.
We'll have slept together,
have a night breakfast together.
And walking about together.
How beautiful is that!
You would have said 'i love you' in the cutest place on earth where some lullabies are dancing with the fairies.
I would have waited like a week or two but you never tried to reach me, no, you never call me back.

I'll kill her, I'll kill her.
She stole my future,
She broke my dream,
I'll kill her, I'll kill her.
She stole my future
When she took you away

I would have met your friends
We would have drunk like a drink or two.
They would have lied to me,
'Cause sometimes I'm funny!
I would have met your dad,
I would have met your mum.

I thought it was a love story,
But you don't want to get involved.
I thought it was a love story,
But you're not ready for that.
Me neither,

She's a bitch, you know
She's got her blondless
No need a tenderness
She's cleverless.

I'll kill her, I'll kill her.
She stole my future,
She broke my dream,
I'll kill her, I'll kill her.
She stole my future
When she took you away






Samedi 20 février 2010 à 16:12

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Mercredi 20 janvier 2010 à 19:37


Samedi 5 Décembre, 2009..



... Et aujourd'hui pour une 3ème fois, elle décidait de sa première fois,
c'est avec lui qu'elle le voulait, qu'elle désirait à ce qu'il aimait, et puis avec cet homme viril,
celui pour qui elle a choisit...

...Mais trois nuits par semaine, c'est sa peau contre ma peau et je suis avec elle
Et trois nuits par semaine, mais bon dieu qu'elle est belle,
Mais trois nuits par semaine c'est son corps contre mon corps, c'est nos corps qui s'enchainent...
Mais trois nuits par semaine mais mon dieu qu'elle est belle...

...A cet instant et à chaque fois, elle voudra le revoir...



Dimanche 29 novembre 2009 à 19:58



J'avais oublier, je pensais me rappeler de tout, tous les petits détails, le pourquoi de notre euphorie.
Je m'étais tromper, j'avais oublier.
J'avais oublier ce qui faisait que nous étions tant passionnée à l'époque ou la vie nous parraissait si belle, si simple.
Je ne me rappelais plus à quel point cette période était magique,
Certe, je le savais que c'était magique mais je ne me souvenais plus l'éffet que ça faisait de vivre comme cendrillon.
Je pensais que je ne pourrais jamais oublier, que rien de tout ça ne pourrais me sortir de la tête.
Alors oui, je me rappelle de chaque moment, chaque parole, chaque geste.
Mais cette sensation que l'on ressent, ce bien être qui nous envahie, ces émotions qui nous poussent à profiter de la vie comme jamais,
Je l'avais oublier.
Oui, j'avais oublier a quel point, nous étions bien.
J'avais oublier le déchirement de coeur que nous avions à chacun de nos " à bientôt"
Ce besoin si intense de ne perdre aucune de leur parole,
Cette dépandance face à leurs sourires, à leurs moindre regards, à leurs simples gestes habituels mais toujours aussi troublants.
Cette angoisse d'en faire trop ou pas assez et de les faire s'éloigner.
Ces étoiles dans nos yeux qui ceintilles d'autant plus fort lorque l'on prononcent leurs noms si particuler, mais finalement si beaux.
Cette chaleur qui nous envahit tout le corps et nous coupe la respiration chaque fois qu'ils nous donnent des nouvelles subitement, comme si de prendre de nos nouvelles était une habitude qui leur devenait indispensable.
Ce bonheur insensé de pouvoir s'endormir le soir sans devoir s'imaginer une vie meilleure mais simplement repenser à ces instants en leur companie si simple, si court mais pourtant si intense à chaque fois.
Cette impatience de les retrouver tellement incontrolable qu'elle nous donne mal partout.
Ce soulagement comparable à une bouffée d'air frais qui nous ait balancer en pleine figue alors que l'on était en apnée depuis leur banale "aurevoir" lorsqu'ils nous font comprendre que rien n'a changer, que à leurs yeux nous sommes toujours les mêmes.
Leurs petites attentions afin de se faire pardonner d'une maladresse, qui nous paraisse à nous comme de vrai déclarations d'amour.
Cette tristesse aussi qui nous bouffe parfois lorsque leur abscence est trop difficile à supporter.
Cette sensation d'être sur un nuage d'un autre monde ou il n'yaurait que eux et nous chaque fois qu'ils nous prennent la main afin de nous inviter à danser, que nos regards s'entre chocs sans plus pouvoir se détourner, que par tendresse ils nous offrent un bisous sur la joue ou encore, lors d'un moment de laisser aller où leurs lèvres s'approchent dangereusement des notres, nous laissant pleine d'espoir parfois sans issue.

Je l'avais oublier ce bonheur si intense qui nous impreigne lorsqu'ils sont là, avec nous, rien que pour nous.
Aujourd'hui, je me rappelle le pourquoi de cette euphorie.
Et je sais pourquoi ce sont eux et pas d'autres et que rien ni personne ne pourra les remplacer.



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